Ayant donc perdu le bonnet de mon fils dans le train, l'urgence était de lui en faire un autre : c'est donc ce que j'ai fait durant ces premiers jours des vacances de Noël. J'ai décidé de le rallonger sur les oreilles et derrière, le précédent ayant tendance à lui glisser sur les yeux quand on le tirait vers les oreilles. "Je ne me vois plus !" disait-il alors. Une fois arrivée au bout, je n'ai pas résisté à rajouter une mentonnière pour ce qui ressemblait deplus en plus à un casque d'aviateur des temps anciens...
Vous le voyez ci-dessus présenté par la grande soeur, le propriétaire du bonnet ayant décidé pour cette séance photo de se montrer insaisissable...

La laine est une pelote restante d'un pull que m'avait tricoté une amie il y a bien quinze ans de cela (je viens de reconnaître cette laine sur le blog du Sapin Baumier : c'est de la Bigarrée de Pingouin). J'avais été touchée à l'époque qu'elle veuille bien consacrer tant de travail pour moi, et je le suis d'autant plus maintenant que je tricote moi-même. Dire que je n'ai pas encore eu le courage de me tricoter un pull !
Le seul pull tricoté main de ma garde-robe est donc dû à Joëlle, que je remercie encore bien tardivement.