• L'ouvrage secret que j'ai en cours a pour particularité de se tricoter de haut en bas, c'est à dire en commençant à l'encolure, et sur une aiguille circulaire. C'est aussi la façon dont j'ai fait le petit gilet pour bébé ci-dessous, ainsi que le petit pull d'été que vous présente ici ma fille.
    J'aime beaucoup les modèles conçus de cette façon, car ils ont l'avantage de ne demander presque pas de coutures (juste sous les manches). De plus on peut les essayer en route et adapter la conception non seulement à la taille que l'on souhaite, mais aussi a la quantité de fil dont on dispose!

    Ce petit pull d'été a été commencé il y a deux ans je crois, dans l'avion pour les Antilles. J'avais monté mon ouvrage sur des aiguilles en bois, fabriquées avec des piques à brochettes : si on me les avait confisquées au contrôle sécurité, je n'aurais pas perdu grand chose ! Durant mon séjour j'étais arrivée à peu près à la hauteur où vous le voyez, mais je n'avais quasiment plus de fil.Ce tricot s'est donc enterré au fond de mon carton à ouvrages. Je l'ai retrouvé récemment, ainsi qu'un fil de même grosseur et qui s'assortit bien avec, je l'ai donc repris. Bien sûr deux ans après il n'était plus à la bonne taille... moi et ma fille avons donc détricoté jusqu'aux manches, que j'ai agrandies de quelques augmentations et je suis repartie. Comme vous voyez il est déjà apprécié!

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  • Je me demandais quel nouvel ouvrage commencer, et la réponse s'est présentée d'elle-même : un heureux évènement s'annonce dans le famille. Je vais avoir, non pas un, mais deux nouveaux neveu(x) et/ou nièce (s)?
    J'ai aussitôt mis sur les aiguilles une petite brassière rayée d'après un modèle d'un ancien numéro de Marie-Claire Idées. Une toute petite brassière vu qu'il me restait à peine une pelote de chaque couleur, mais comme me dit mon beau-père, c'est encore trop grand pour eux (elles), vu qu'ils (elles) ne font encore que quelques millimètres. En m'y prenant suffisamment à l'avance, j'espère avoir le temps de tricoter quelque chose pour chacun(e) !!


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  • J'ai aussi bien avancé sur le gilet destiné à ma fille Junie : je n'ai plus qu'à le coudre et faire le col...
    La laine est une laine shetland bien fine achetée à Madère il y a quelques années. Sa finesse et la couleur (un vert amande mélangé d'un jaune orangé, mais très pastel) semblaient la destiner à de la layette, mais elle est si rêche que je ne voudrais pas lui confier un bébé. J'ai donc décidé de la tricoter en double et d'en faire un gilet pour la fille.
    Le modèle a été inventé pour l'occasion : j'ai essayé de tenter la demoiselle avec des exemples de torsades, de points dentelles, etc... Mais tout ce qui lui plaisait c'était les bordures au point de riz sur des gilets tout simples. C'est donc ce que j'ai fait. La seule touche de fantaisie seront les boutons que nous avons fait nous-même avec de la pâte Fimo. l ne sont malheureusement pas sur cette photo, mais j'espère vous montrer bientôt le gilet fini !

    Vous voyez sur la photo le dos épinglé sur un coussin, et le début des devants. J'ai gardé le dos ainsi pour pouvoir comparer les dimensions au fur et à mesure du travail (car bien entendu, j'étais trop paresseuse pour faire un échantillon ou compter des mailles et des rangs...).



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  • J'ai commencé un gilet pour ma fille que je vous présenterai prochainement. Le dos et une première manches sont allés sans soucis, mais la deuxième manche me donne du fil à retordre. J'ai tricoté une première fois la bordure du poignet (au point de riz)avant de m'apercevoir que j'avais utilisé les aiguilles n° 4,5 au lieu du n° 4 avec lesquelles j'ai fait les autres bordures. Je grenouille (I frog : rip it, rip it). Je recommence mon poignet un après-midi en famille, mais là (trop de distractions ?) je me trompais sans cesse et tournais mon point de riz en point de blé.
    Hier soir, enfants couchés, mari parti travailler, je m'installe tranquillement devant la télé avec la perspective de passer la soirée avec Brad Pitt (c'est ce que disait le programme) et mon tricot. Quand la présentatrice de la météo annonça "Je vous laisse en compagnie de Jacques Villeret", j'aurais dû me douter que tout n'irait pas si bien que ça.
    Devant le "Dîner de cons" j'ai donc détricoté, remonté mes mailles, compté, recompté et tricoté mes 9 rangs de point de riz, plus quelques rangs de jersey, sans oublier de prendre d'abord mes aiguilles n°4 puis mes n°4,5, bref tout bien comme ma première manche. C'est à la fin du film que j'ai eu un doute : mon tricot m'avait l'air un peu serré. j'attrape la première manche et je compare. Eh bien oui, ma deuxième manche était bien deux (2!) centimètres plus étroite que l'autre. Même nombre de mailles (44, j'ai recompté), mêmes aiguilles (j'ai vérifié), mais une énorme différence de tension.

    En y repensant bien, je crois bien que j'ai tricoté ma première manche devant "Troie". Va-t-il falloir que je reloue un film avec Brad Pitt pour la deuxième? Ou croyez-vous que Di Caprio conviendrait ? Ce gilet va me coûter cher en DVD !


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  • Il fallait bien que moi aussi j'attrape le virus qui court les blogs autant que la gastro les cours d'école...  Les pieds en l'air! Notez que je suis atteinte des deux pieds...
    A droite la chaussette pour ma maman, déjà mentionnée ;  à gauche une chaussette pour moi, en Laine nylon de Pingouin (violet) et une laine à chaussettes achetée il y a cinq ans dans une solderie de laine, ancienne filature,  à Villecomtal (Aveyron). C'était un grenier immense plein de sacs et de boîtes où je me suis servie assez timidement, puisque je suis repartie avec seulement trois pelotes. Que je regrette maintenant !



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